Le lycée Jean-Vilar de Plaisir est en tête des lycées qui ont le plus progressé !

Voici une excellente nouvelle de l’article du Parisien du 17 janvier 2019 repris ici



Le lycée Jean-Vilar de Plaisir est en tête de notre classement. Grâce à différentes initiatives pédagogiques, l’établissement a vu son taux de réussite au bac passer de 90,7 % en 2013 à 95,38 % en 2018.

Une ascension fulgurante. Avec 100 % de réussite au Bac en 2018 pour les séries L et STMG et une réussite globale frôlant les 96 %, le lycée général et technologique de Jean-Vilar à Plaisir sort d’une très belle année 2018.

Un succès qui vient confirmer une stratégie d’enseignement efficace à moyen terme. En effet, l’établissement a connu la plus forte progression de réussite au baccalauréat dans les Yvelines*, avec 5,11 % de reçus en plus entre 2013 (90,7 %) et 2018 (95,38 %).

« Je ne m’y attendais pas du tout concède, le sourire aux lèvres, François Fontaine, proviseur du lycée Jean-Vilar depuis septembre 2017. C’est aussi grâce à mon prédécesseur [NDLR : Lahsen Mriouah] que de tels résultats ont été rendus possibles. Ici, on réunit toutes les conditions favorables à une réussite optimale. »

Grâce à une équipe enseignante qui se veut « exigeante » tout en étant « bienveillante », l’établissement multiplie les projets et entend faire son maximum pour que tous les élèves réussissent. C’est d’ailleurs dans des locaux remis à neuf fin 2017 que les 770 élèves du lycée se préparent à passer le bac.

Une classe à effectif réduit pour les lycéens «fragilisés»

Des groupes de niveau en langue ont été mis en place pour faciliter l’apprentissage. En plus de la salle de permanence, une salle d’études est ouverte pour permettre aux étudiants de travailler seuls ou en groupe, en autonomie. L’établissement encourage également la réorientation entre les filières si un élève se trouve en difficulté.

Une webradio a par ailleurs été lancée par deux enseignantes pour amener les étudiants à investiguer sur certaines thématiques. Une série de podcasts, dirigée par les élèves, leur permet de se livrer à un véritable travail journalistique.

Enfin, une classe de seconde dite « à projets » a également été ouverte en 2017 pour permettre à des étudiants « en fragilité » de bénéficier d’un accompagnement presque individuel. Les effectifs y sont réduits, avec seulement 24 élèves contre 35 dans une classe normale. Ces lycéens planchent tout au long de l’année sur le thème de Galilée, via un travail pluridisciplinaire, deux heures par semaine. Les élèves progressent par exemple en physique et en mathématiques en étudiant « la lunette de Galilée » ou sont amenés à travailler l’histoire et le français grâce à l’étude de la pièce de théâtre « La vie de Galilée », de Bertolt Brecht. Les enseignants des deux disciplines supervisent conjointement la réécriture de la pièce, qui sera jouée en fin d’année.

*Méthodologie : notre cellule data a calculé l’évolution entre le taux de réussite au bac en 2013 et en 2018. Ce classement met en avant les plus importantes progressions de ce taux de réussite. Les taux de réussite et de mentions ont été également calculés par nos soins. Ces chiffres s’appuient sur des données qui ont été publiées par le ministère de l’Education nationale sur son portail OpenData. Les résultats consolidés officiels et faisant foi seront publiés en mars.